New York, la ville de tous les superlatifs, par Carène
Carène est notre Lectrice Charleston à l’honneur ce mois-ci. Pour l’occasion, elle a choisi de vous raconter son coup de cœur pour la ville de tous les possibles : New York !
New York, j’en rêvais. Depuis des années et des années. Et des années. Je crois que mon homme m’a toujours entendu parer de cette ville. Et ça fait 17 ans que nous sommes ensemble c’est dire.
Et puis en juillet 2015, j’ai décidé qu’il fallait arrêter de seulement rêver de cette ville. J’ai décidé qu’il fallait qu’on y aille. En novembre 2015, j’ai réservé les billets d’avion, plus moyen de faire machine arrière.
En avril 2016, on a pris l’avion. J’étais terrifiée. Par l’avion, cela va de soi. Mais aussi par New York. J’avais peur d’en avoir trop rêvé, d’avoir trop idéalisé. D’être déçue.
Et puis on a atterri. Et à partir de là, le rêve est devenu réalité. 8 journées pleines sur place. 8 journées à en prendre plein les yeux et le cœur. 8 jours à marcher des kilomètres et des kilomètres, parce que dans le métro on ne voit rien.
Cette ville est juste incroyable. On marche dans une rue, on observe le décor, on change de rue et le décor n’est plus le même. Il n’y a pas de symétrie de construction. Des immeubles ultramodernes côtoient des immeubles anciens. Il n’y a pas d’alignement, pas de logique. Partout où nos yeux se posent il y a quelque chose à contempler. Les escaliers de secours apparents, les citernes sur les toits, les panneaux de rues, les feux tricolores, les ambulances et autres camions de pompier (le bruit des sirènes résonne encore dans ma tête quand j’écris ces mots).
J’avais planifié notre séjour. Je savais ce que je voulais voir et faire. Et mentalement, chaque jour j’ai pu cocher des petites cases « ça, c’est fait ».
Nous sommes allés voir un match de basket au Madison Square Garden, on a fait du shopping à Soho, on a traversé le pont de Brooklyn a pied, on a vu la statue de la liberté de près, on a assisté à une Comédie musicale à Broadway (Les misérables et c’était juste grandiose), on a passé une journée à central park : pique-nique et tour de vélo, on s’est promené, on a admiré, on a testé des restaurants, mangé des pancakes, on a écouté du gospel dans une église de Harlem…
Tellement de choses, tellement d’images, tellement de sons et de senteurs emmagasinés.
J’ai eu pendant plusieurs semaines la nostalgie de ce voyage, de cette ville. J’ai eu beaucoup de mal à me défaire de New York. J’y pense encore fréquemment aujourd’hui.
Je rêvais d’y aller, je rêve maintenant d’y retourner. Peut-être pendant la période des fêtes pour admirer les vitrines décorées et toute la démesure associée à noël.
New York m’attire et me fascine.
J’aime cette ville comme jamais je n’aurais cru pouvoir aimer une ville.
Un grand merci à Carène d’avoir partagé avec nous cette belle expérience new yorkaise ! Vous pouvez la retrouver sur son blog Des mots et moi. Maintenant, on a juste une envie : sauter dans un avion et laisser la magie opérer.